Un poême d'un jeune au nom Norvégien ou simplement Avatar

Soyez indulgents, ceci est très personnel, et comme tous mes poèmes, et c'est sans doute celui qui se retrouvera le moins embêtant à être rendu publique sur tous mes derniers....

je l'ai nommé "A Toi"

Ce bruit étonnant,
Dans ma tête,
Détonnant,
Ce râle languissant,
N’est en fait,
Que la mort approchant.

T’arrachant
Au monde vivant,
Alors que ton temps,
N’était pas révolu,
Je ne puis réellement,
Imaginer ce que tu serais,
Si tu étais resté.

Apres tant d’années,
Nous nous sommes habitués,
Mais jamais consolés,
De ce qui ne, jamais,
Aurais dû arriver.

Mais laisse moi te parler,
Mais laisse moi te prier,
Mais laisse moi t’honorer,
Pour te monter,
Qu’à travers ton absence,
Tu es toujours à nos côtés.

Si mon corps ne peut plus en pleurer,
Mon cœur n’en est pas moins touché.
Et à tout jamais,
A chaque nativité,
Je me souviendrais,
Toi qui étais,
Mon modèle adoré,
La personne que j’adulais.

J’essaie de te retrouver,
Dans mes souvenirs d’enfant,
Si loins maintenant,
Seuls souvenirs d’un visage floué,
Le temps efface les images,
Et la douleur ne s’efface,
Cette plaie non refermée,
Ne cesse de saigner,
Même si je ne puis plus verser,
Ces larmes salées,
Qui ont tant coulées,
Au souvenir de ton nom,
Au désespoir de ma raison.

La douleur ne disparaît,
Mais elle s’est transformée,
Et si je ne puis te prier,
Et si je ne puis t’honorer,
Ou bien te parler,
Laisse moi encore te chercher,
Et laisses moi te trouver.

Apres tant d’années,
La joie ne réapparaît,
Et cette magie effacée,
De la nativité,
Pique mes yeux immergés,
De ces pensées effacées,
Pour ne pas déprimer,
Lorsque les autres s’amusaient,
Pour ne pas pleurer,
Lorsque les autres rigolaient,
Pour ne pas leur gâcher,
Cette fête tant préparée,
Et par le passé,
Pour ne pas être réprimandé,
De gâcher à ces enfants parfaits,
Cette fête tant rêvée,
Depuis tant d’années,
Où ces pleurs réprimés,
Ces râles silencieux,
De tant d’années à pleurer,
Sans être consolé,
Ces râles silencieux,
Le soir, sur l’oreiller,
Sans pouvoir cesser de pleurer,
Ces râles silencieux,
Un garçon ne pleure pas,
Un garçon ne rêve pas,
Ces râles silencieux,
D’un enfant honteux,
D’un adolescent malheureux,
D’un homme peureux,
D’être découvert pleurant,
Exposant ses sentiments.

C'est très beau je trouve

Je me suis surpris à frissoner, sans même connaître ton histoire. Vraiment très beau, bravo

Merci beaucoup

Tu honores parfaitement cette personne avec ce magnifique poème. C'est dur de voir qu'on écrit des poèmes pour quelqu'un qui a peu d'interêt pour eux... m'enfin ca doit être encore plus dur d'écrire des poèmes pour quelqu'un qui ne peut pas les lire :/
Mais je pense que de la haut elle te voit, elle aussi pense fort à toi, sait que tu ne l'oublieras pas; elle ne mourras que lorsque tu le voudras (...ou pas =). Car elle est toujours dans ton coeur, et que tu l'aimes avec ardeur.

Je m'entraine un peu partout à mettre des rimes...
Même dans mes sms avec Jo lol "beau" rime avec "cadeau", "bisous" rime avec "chouchou" hihi xD
Nan le mieux c'était pour mon examen de psycho "cognitive"...qui rime avec science "nocive" (c'était pour la conclusion de mon exam, mais je l'ai écrit seulement sur mon brouillon, je suis pas si folle :p)

Franchement je trouve sa beau, tu montre bien tes sentiments, et j ai un plaisir a le lire, meme remarque que thomas j ai frissoner ^^

PS: Lisa j avais meme pas remarque xD ( meme si je les ai trouver tres beau :p )

Que de belles paroles, et de beaux poètes dans cette guilde

Aux aurores, viendra la mort,
Emmitouflée dans une cape d'or,
Elle viendras nous chercher,
Pour rejoindre notre destinée,
Elle viendras nous guider,
Punira nos péchers,
Aboliras nos pensées,
Mais nous laissera nos regrets.
Elle nous laissera pleurer,
Elle nous laissera souffrir,
Et à travers son sourire,
Se délectera de nous voir ainsi gésir.

Dans les reflets d'or sang,
De l'astre mourant,
Dans les reflets d'argent,
De son opposé naissant,
Dans le sang, se répandant,
Sur une mer, dans les nuage, rougissants,
A travers l'océan, rugissant,
A travers la voute s'illuminant,
A travers le ciel, s'assombrissant,
Nous seront les rois des temps,
Des souvenirs s'estompants,
Mais nous seront, aux yeux aimants,
Ceux qui feront rêver les enfants,
Ceux qui, longuement,
Attendent dans la douleur,
A travers le châtiment du temps,
Leur âme sœur.

Ainsi à travers la mort,
Nous souffriront,
Parfois à tors,
Mais enfin nous seront,
Réunis à mort.

Vraiment joli =)

Encore un poème bien triste, mais refletant le travail d'un artiste

Merci beaucoup.....je suis en vacances, ce qui devrais me permettre de poster une nouvelle création d'ici peux....

J'ai vraiment aimé le premier qui m'a touché même si j'ai eu un peu de mal avec le rythme des vers surtout au debut... (jte le dis franchement)
Le deuxieme est vraiment tres bien, different, moins original peut être, mais j'ai une légère preference pour celui çi